mercredi 22 octobre 2008

La saga Aliens

Alien, le 8e passager (1979)



2122. Le Nostromo, vaisseau de commerce emportant un équipage de sept personnes, fait route vers la Terre chargé d'une cargaison de minerais. Il doit interrompre sa course pour répondre à un mystérieux message provenant d'une planète inexplorée. Après un atterrissage périlleux, l'équipage découvre les restes d'un gigantesque vaisseau extraterrestre. Explorant plus avant les soutes du vaisseau, l'un des membres de l'équipe, Kane, découvre une sorte de caverne remplie d'œufs et, voulant en inspecter un, se fait agresser par la créature arachnéenne qu'il contenait. Cette créature s'agrippe au visage de Kane qui est ramené inanimé au Nostromo de toute urgence… Une fois revenu à bord, il est placé en quarantaine avec le parasite toujours accroché à son visage : heureusement, au bout de quelques heures, ce dernier se détache et Kane revient à lui. Mais lors du repas qui suit son rétablissement, Kane est soudainement pris de convulsions violentes et sa cage thoracique explose, libérant un monstre qui menacera tout l'équipage.

Un peu d'historique pour commencer.
La création d'Alien vient évidemment en premier lieu de ses scénaristes, Dan O'Bannon et Ronald Shusett. Ces deux là s'entendaient comme larron en foire et, souvent comme les larrons en foire justement, ils n'étaient pas bien riches. Du coup, l'un hébergeait l'autre mais je ne saurai plus dire lequel a fait quoi (Quoi ? Je suis un historien né, ça se voit pas ?). La première partie du scénario s'écrivit facilement selon leurs dires. Vint le problème principal, comment introduire la créature alien dans le vaisseau spatial. C'est au beau milieu de la nuit que l'idée lumineuse vint à l'un des deux auteurs (oui, je ne sais toujours pas lequel, ça fait longtemps que j'ai vu ça). Il alla donc réviller son camarade pour lui déclarer (approximativement mais c'est dans cet ordre d'idées) : « Je sais comment on va faire, faut que la créature viole un membre d'équipage ». Le deuxième compère sauta de joie. C'était répugnant, mais Alien était né, le reste du scénario coula de source.
Passons maintenant aux producteurs. Les pauvres se morfondaient dans leur bureau. Leur problème ? La Guerre des étoiles explosait le box office, l'ouverture aux films de SF en masse était béante et aucun scénario digne de ce nom n'était entre leurs mains. Lorsqu'un jour celui d'Alien se pointa et ils sautèrent de joie (eux aussi, le monde du spectacle est fascinant, vous savez). Dès la première lecture, ils trouvèrent le scénario très mauvais. Ce n'était pas très engageant pour faire un film. Mais l'un d'eux repéra une scène qui, à elle seule, valait le coup de faire le film. Cette scène bien sûr, c'était la fameuse explosion de poitrine au moment où l'alien naissait. Ils ont donc remanié entièrement le scénario puis se sont mis à la recherche d'un réalisateur.
Ils trouvèrent Ridley Scott, encore très peu célèbre, bien qu'ayant fait un premier film remarqué par la critique, les duettistes. Scott n'aimait ni la SF, ni l'horreur, et Alien ne lui convenait donc pas des masses (on dirait qu'ils ont tous mis de la mauvaise volonté à faire ce film, c'est à peine croyable). Pourtant il accepte pour des raisons qui, du coup, sont assez obscures. Il cherche à donner un ton très différent cela dit et découvre l'artiste tourmenté H.R. Giger qui donna le visuel artistique au film, notamment celui de la créature. Ridley Scott aura ensuite une idée de génie, il demande à ce qu'on coupe les décors. Il venait de remarquer que l'équipe de décors avait fait des plafonds magnifiques e qu'on ne les voyait jamais. Il ordonna donc de rabaisser les décors ce qui eut le double avantage de permettre de voir les plafonds et de donner un sentiment très particulier de claustrophobie qui envahira tout le film.
Tout le génie du premier film tient là. Dans des espaces de sous marins, les acteurs donnent l'impression d'être déjà pris au piège et la tension s'accumule peu à peu. Le premier film de la série est, de toute évidence, le plus terrifiant.
Enfin, pour la sortie du film, un petit génie de la production à une fameuse idée de phrase d'accroche (maintes fois reprises et détournées par la suite) pour l'affiche et la bande annonce : « Dans l'espace, personne ne vous entend crier ».
Avec tout ça, Alien le huitième passager provoque des attroupements et des files de plusieurs rues de long devant les cinéma, entrainant la gloire de la série et celle de Ridley Scott.

La version DC :

Disponible en simple DVD ou dans le coffret de la quadrilogie, chaque film de la série a sa version longue ou director'cut.
La version director'cut de Alien, le huitième passager propose des scènes tout à fait dispensables. La première idée est plutôt bonne, remanier le montage du film (notamment raccourcir le passage entre deux scènes) pour réactualiser le rythme du film original. De fait, malgré l'ajout de scènes supplémentaires, le film fait 4 minutes de moins que l'original. Mais on comprend pourquoi ces fameuses scènes ont été retirées de la première mouture. Non pas qu'elles soient mal faite, mais elles n'ont pas de place dans le film. Honnêtement, il vaut mieux lui préférer la première version.

Aliens, le retour (1986)




2179. Après avoir dérivé 57 ans dans l'espace, Ellen Ripley est rapatriée sur une station spatiale. La compagnie qui l'employait la somme alors d'expliquer la perte de la cargaison et de l'équipage du Nostromo, mais personne ne la croit : en effet la planète LV-426 d'où selon elle provenait la « chose » a été colonisée depuis plusieurs années et une communauté y vit en toute quiétude. Ripley est donc dégradée et renvoyée à la vie civile.
Mais bien vite son avocat la recontacte : on a perdu toute liaison avec les colons et un bataillon de Marines coloniaux va être envoyé sur place pour enquêter. Il lui demande de les accompagner. Ripley hésite, mais s'étant vu promettre que la créature serait « détruite » et que sa licence de vol allait lui être restituée, elle accepte de partir... Arrivant sur la planète avec les Marines, toute la colonie reste introuvable. Par contre les aliens sont bien là, nombreux et acharnés. Une bataille musclée s'engage pour regagner le vaisseau.

Le succès du premier alien amenait forcément, dans l'esprit des producteurs, à en faire un second. Mais ils eurent la bonne idée (rare pour ce genre de personnes) de ne pas se précipiter et de chercher un réalisateur qui serait à la hauteur. Toujours dans l'idée de prendre un jeune réalisateur au début de sa carrière, ils s'intéressèrent à un homme qui n'avait jusque là fait que deux films, Pirahnas 2 : les tueurs volants et... Terminator. Le deuxième ayant rencontré son petit succès planétaire, les producteurs décidèrent d'embaucher James Cameron.
Cameron débarqua donc dans la production qui lui donnait de très gros moyens. Suffisamment important en tout cas pour la démesure du bonhomme qui allait s'en donner à coeur joie. Et quelle démesure. La première idée du réalisateur est de vouloir des « spaces marines », un corps de soldat de l'espace, ce qu'il n'avait jamais vu avant et qu'il rêvait de créer sur écran, ce qui donnera le ton un rien bourrin quand même du film. La seconde idée, c'est de vouloir montrer la créature qui pond les fameux oeufs, et donc de créer la reine des aliens, créature énorme dans un film énorme.
Mais Cameron n'est pas non plus dépourvu de toute psychologie. Durant le film, il appuie notamment sur le besoin de materner de Ripley en introduisant le personnage de Newt, une petite fille, dernière survivante de la colonie
Là encore, l'enrobage du film est également bien ficelé, notamment la musique qui sera reprise dans de nombreuses bandes annonces et films divers.

La version longue :

Un peu comme le premier film, les scènes rajoutées ne sont pas tout à fait indispensables au film, mais elles se laissent voir sans problèmes. La première montre Ripley dans la station, où elle apprends que sa fille est morte... de vieillesse. Forcément, ça fout un coup et ça introduit le besoin maternelle. Ensuite, on voit un peu la vie de la colonie (avec un hommage au Shinning de Verhoeven) et la façon dont le premier colon est touché. La troisième montre une scène assez angoissante où les aliens se font charcuter en masse par des mitrailleuses automatiques qui risque de se retrouver à court de munitions. A voir donc mais ce n'est pas vital.

Alien 3 (1992):




Suite à un problème sur le vaisseau qui les ramène vers la terre, les rescapés du précédent épisode en hibernation sont éjecté en urgence.
La capsule vient s'écraser sur Fiorina 161, une planète-prison peuplée par de dangereux criminels qui forment une confrérie mystique. Ripley est la seule survivante du crash. Les détenus accueillent froidement la rescapée qui constitue pour eux une tentation. Mais Ripley a un doute : se pourrait-il que l'incendie à bord du Sulaco ait été provoqué par un Alien ? Voulant en avoir le cœur net, elle demande au Docteur Clemens - avec qui elle s'est liée d'amitié - d'effectuer une autopsie sur le corps de la petite Newt. L'investigation ne donnera rien. Les corps de Newt et Hicks sont incinérés. Au même moment une créature jaillit du ventre de Spike, le rotweiller d'un des détenus. Une course contre la mort s'engage, surtout qu'il n'y a aucune arme dans la prison. Ripley et les prisonniers devront redoubler d'ingéniosité pour avoir la peau de la bête.

La production de Alien 3 est un cas d'école (ou devrait l'être) dans tous ce qu'il ne faut pas faire si vous voulez un film réussi. Le parcours chaotique du film a beaucoup fait parler de lui en tout cas.
Les producteurs ont cette fois-ci embaucher le très prometteur David Fincher qui réalise là son premier film. Ce fut là leur seule bonne idée.
Tout d'abord, le scénario était à peine terminé que la production débutait. Résultat, l'histoire subit plusieurs changements importants alors que le tournage était en cours. Fincher, tout jeune réalisateur, a du mal à se faire entendre, malgré sa détermination et le soutien de l'équipe et des acteurs, face à la production. La tension est donc presque palpable dans les studios. Fincher réussira néanmoins à montrer son style personnel et à accentuer la tension du film ressemblant beaucoup à celle du premier, partant déjà sur une idée de devoir confronter un alien à un groupe de personnes sans armes. Bref, les cadavres pleuvent.
Malheureusement, les producteurs monteront le film aux hachoirs et Fincher reniera sa première oeuvre. Heureusement est arrivé...

La version longue :

La première version d'alien 3 sauvait un tant soit peu les meubles. Mais il faut avoir vu la version longue du film pour comprendre à quel point ce film fut complètement gâché. Suite à un film passable, on découvre un putain de chef d'oeuvre (qui souffre néanmoins encore de quelques défauts de la version initiale, ça ne s'efface pas comme ça). On redécouvre totalement le film de Fincher à travers quelques scènes qui ne semblent pas importantes mais qui permet de mieux comprendre les personnages et leurs actes. On découvre aussi qu'à l'origine, le film se découpe en deux parties, séparées par la première capture de l'alien, libéré ensuite par un fanatique croyant vendre son âme au diable, ce qui donne tout son sens au mysticisme présent durant tout le film, qui auparavant ne servait qu'à appuyer l'ambiance un peu décalée du film.
Un bon conseil, Procurez-vous la version longue à tout prix.

Alien, la résurrection (1997)



Deux cents ans après le suicide de l'officier Ellen Ripley, une équipe de généticiens clone la jeune femme afin de récupérer l'alien vivant en elle, qui n'est autre qu'une reine. À leur grande surprise, le clone de Ripley a hérité de certaines caractéristiques génétiques de l'alien et ce dernier possède en partie la mémoire de Ripley. Afin d'étudier cette fascinante espèce et de lui permettre de se reproduire, les scientifiques font appel à des pirates de l'espace qui leur fournissent des « cobayes humains » pour héberger les embryons d'alien. Mais une fois nés, les nouvelles créatures ne tiennent plus en place et s'échappent.

_ Tiens, ça fait longtemps qu'on a pas fait un alien, non ?
_ Et comment tu veux qu'on fasse ? Le personnage principal est mort.
_ Ohla, t'as jamais entendu parlé de génétique toi.

Ce doit être à peu près la conversation qu'on eut les producteurs avant de lancer Alien, la résurrection. Et de résurrection, c'en est une sacrée. Personne ne voyait vraiment comment relancer la machine après l'horreur que fut le tournage d'alien 3. Il flottait dans l'air une certaine rumeur de faire Alien vs predator et les quelques âmes encore conscientes des réalités (Sigourney Weaver en tête) se sont précipitées pour arrêter cette aberration (malheureusement, ça n'a fait que retarder l'inévitable catastrophe).
Cette fois-ci, les producteurs reprennent la formule d'aliens, le retour et engage un réalisateur qui a fait ses preuves avec le français Jean Pierre Jeunet, dont le style particulier est bien reconnaissable. Cette fois-ci, on attend quand même que le scénario soit écrit (par Joss Whedon, créateur de la série « Buffy contre les vampires ») avant de lancer le tournage, ce qui n'est pas une bête idée ma foi. Jeunet ramène autour de lui une petite équipe de frenchies qu'il connaît bien, dont l'acteur Dominique Pinon, le spécialiste des effets spéciaux Pitof (qui réalisera plus tard « Vidocq » et « Catwoman ») et l'excellent directeur de la photographie Darius Khondji.
Après le carcan d'alien 3, Jeunet dispose d'une grande liberté d'action pour mettre son univers en place et peut s'appuyer sur un très bon casting comptant, en plus de Sigourney Weaver et Dominique Pinon, l'excellentissime Ron Perlman que Jeunet a déjà fait jouer dans « la cité des enfants perdus », qu'on voit régulièrement dans divers films grâce à sa tête bien reconnaissable (L'ultime souper, Blade 2, le nom de la rose dans le rôle marquant du simplet, la guerre du feu, stalingrad, cronos,... enfin bref, il est partout) et qui endossera plus tard le rôle de Hellboy dont le deuxième opus arrive dans les salles. On peut aussi voir Winona Ryder, qu'on ne présente plus, et Michael Wincott, autre « gueule » du cinéma américain, habitué aux rôles de méchant et aux seconds rôles qui a également participé à plusieurs grands films (the doors, robin des bois prince de voleurs, 1492 Christophe Colomb, les trois mousquetaires, the crow (c'est lui le grand méchant), dead man, strange days,... ).
Sur un scénario assez basique, Jeunet se doit donc de développer son style visuel pour marquer les spectateurs, ce qu'il arrive à faire notamment à travers la scène sous l'eau suivie, à un rythme effréné, de celle de la grande échelle (dis comme ça, ça a l'air de rien mais ce sont quand même les moments les plus intenses du film). On a également droit à la création originale du film, le nouveau né alien, hybride entre l'homme et l'alien, créature particulièrement sanguinaire et relançant un moment le sentiment maternel de Ripley remontant à deux épisodes (faut suivre). Malgré le fait que la nouvelle créature n'ait pas toujours été appréciée par les fans, je la trouve, personnellement, tout à fait bien utilisée. Mais on ne peut pas plaire à tout le monde.

La version longue :

Là encore, pas grand chose à voir. Jeunet coupe certaines scènes qui sont intéressantes sans être indispensables et qui n'apportent rien au film. Certains remaniements sont même tout à fait superflus (la nouvelle scène d'introduction ridicule) et il est donc conseillé de s'en tenir à la version initiale.

Alien vs predator (2004) :

En l'an de grâce 2004, des producteurs vidés de leur imagination se base sur des jeux vidéos et des bds pour relancer deux franchises mythiques du cinéma qu'ils vont sciemment saboter. Non, je ne parlerai pas ici des immondices qu'ont été les deux alien vs predator, sauf pour dire tout le mal que j'en pense, qui n'ont pour autre but que de massacrer deux monstres sacrés des salles obscures. Ceux qui ont commis ces horreurs devraient tous être sacrifiés dans un rite satanique au fond d'un marais pestilentiel. Et ça, c'est parce que je suis quelqu'un de gentil.
Irrécupérables, les films massacrent non seulement les deux séries, mais en plus, ne respectent même pas les matériaux d'origines, à savoir la bd et les jeux vidéos.
Toute personne fan de l'une ou l'autre des séries, ou tout simplement quelqu'un qui s'y connait un tant soit peu en cinéma, refusera toujours de considérer que les AVP font parti de l'une ou l'autre des sagas.
Rappelons que la phrase d'accroche du premier film était néanmoins bien trouvée : « quelque soit le vainqueur, nous serons tous perdants », oui, surtout ceux qui ont payé pour voir ça.

Et ensuite ?

Malgré le passage foireux des AVP, il semblerait que les producteurs ne soient pas prêts de lâcher le filon des aliens. Plusieurs idées sont possibles pour continuer la série originelle allant d'un nouveau scénario basique (encore un mec qui se fait « entuber », qui donne naissance à une créature et ça repart comme en 14) à l'exploration plus intensive de la mythologie créée par les films (les aliens viennent forcément de quelque part, et si on allait voir leur planète ?). Bref, espérons que la saga n'est pas terminée et surtout que les erreurs passées auront permis d'apprendre une bonne leçon.

Mais où est-ce qu'on achète ces peluches là, bon sang !!!!!!

9 commentaires:

Blutch a dit…

Cher darklord,

J'ai remarqué une incohérence dans le scénario présenté aujourd'hui.

L'auteur précise en effet qu'il ne reconnait pas AVP dans la serie des aliens.

Cependant il en parle dans cet article consacré a la serie alien.

C'est une incoherence flagrante et j'espère que celui qui a commis cette bourde sera condamné a mort par visionnage de "jason contre freddy" en boucle.

Anonyme a dit…

AVP, en jeu (réseau) était bien tripant!

Sinon ... Je veux cette peluche!

Darklord a dit…

Oui mais non.

L'auteur de cet article, un grand reporter reconnu internationalement et qui a manqué le Pulitzer de peu, a préféré ne "pas ignorer" le cas malheureux des AvP.
Aurait-il fallu les passer sous silence sous prétexte que ce sont des bouses infâmes ? Non, c'eut été la solution de facilité.
Notre auteur, ce futur Nobel, a préféré dénoncer avec panache et ironie la place que n'occupe pas ces deux... euh... "films" (faute de mieux) en les intégrant justement où ils ne sont pas. Le paradoxe ainsi créé, ne nous y trompons pas, se veut une dénonciation courageuse et intègre de la magouille voulant que les AvP soient considérés comme faisant partie des sagas d'alien et de prédator.
Nous apportons en tout cas tout notre soutien à cet auteur, pour lequel le Goncourt n'est qu'une banale formalité, dans son article héroïque et néanmoins d'une modestie qui frise la vénération.

Anonyme a dit…

Bon ben ça c'est fait...
Au cas où j'aurais eu la bonne idée d'en faire la critique avisée, j'ai plus qu'à mettre le lien de ton article ... C'est ce qu'on appelle mâcher le travail ^^

Anonyme a dit…

Arf je VEUX cette peluche !!!!

Darklord a dit…

C'est le résultat d'heures et d'heures passées devant les bonus du coffret de la quadrilogie Gouss. Un achat que je ne regretterai pas et qui trône fièrement au côté des 3 versions longues du seigneur des anneaux sur ma dvdthèque.

Oui, Guinness. Faut trouver où ça s'achète. J'ai pensé à toi en voyant cette photo. Après celle de ton fils façon "Land of the dead" je me doutais qu'elle serait de ton goût. :)

Anonyme a dit…

trop fort la peluche alien !!! ha ha ! hallucinant ! ça me rappelle un épisode de Pervers Pépère de Gotlib, la bestiole lui sautait au visage puis , vu l'haleine du gugusse, elle allait vomir tous les boyaux de son corps dans un coin, et lui se marrait comme un couillon.

Darklord a dit…

Oui, il me semble avoir lu cette histoire mais ça fait longtemps. Ah Gotlib, THE master.

Cylon a dit…

Alors là je dois dire que ça me fait bizarre. Je viens juste de terminer la critique de chacun des 4 films pour mon blog ciné (et ce parceque je suis un fan absolu de l'univers Alien) et en cherchant des blogs traitant de la saga pour subrepticement faire ma pub (gnark gnark) je tombe sur ton article, où, grossomodo, tu dis quasiment exactement les même choses que ce que j'ai écrit dans la journée. En tout cas, c'est un très bel article, très agréable à lire, et puisque je suis là pour ça (et que je l'assume) je t'invite à aller faire un tour sur mon blog histoire de... lire à peu près la même chose que ce que t'as mit =# Ok, vu comme ça, ça a pas l'air super engageant, mais si si, viende, viende!